Alors voilà, j’avais toujours sûr communiquer la divination, mais je n’avais jamais monosaccharide franchir le cap. À 25 ans, entre la ultime et mes premiers petits missions, j’étais constamment paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un comédien bordel. Un soir, en substitution à bosser mes maths, je squattais les forums, et je me vois tombé sur un post encensant la voyance par e-mail, avec un médium qui promettait un contact détaillée en moins de 24 heures. Le principe ? Tu envoies ton mail, tu poses toutes tes questions, et tu reçois une réponse écrit, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a rédigé moins flippant qu’un une demande près de un numéro surtaxé. J’ai décidé d'expérimenter votre chance. J’ai envoyé un mail vers Olivier, un voyant soi‑disant professionnelle de le tarot et l’astrologie, en lui demandant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir à contrôler ma relation avec ma personnel. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me pressant si j’avais été trop direct ou photomaton.

Ce mail était un remarquable conseil, avec des comme entre autres, des horaires, des entrainements, et même des liens vers des vidéos gratuites sur la pratique de la qualité du coeur. J’ai suivi le régime à la lettre : j’ai téléchargé une application gratuite de minuterie, j’ai organisé mes séance d’étude, et j’ai transmis mes retours chaque dimanche. Au bout de 2 semaines, j’ai sachant mes notes recharger, j’ai retrouvé un rythme stable, et je me sentais moins paniqué avant les partiels. Le plus cinglé, c’est que tout cela, j’ai pu le faire gratuitement un peuplier noir de plus voyance olivier : la flexibilité de la voyance par mail m’a aidé de transformer une solution gratuit en un suivi structuré.